Remords?

– Vous n’avez rien ressenti, lorsque vous avez coupé votre femme en morceaux avant de la mettre à cuire? demande le juge au condamné.
– Si, Si, à un moment je me suis mis à pleurer.
– Ah quand même! et à quel moment?
– Quand j’ai coupé les oignons!

Radio automatique

Une dame vient d’acheter la toute nouvelle Cadillac. La voiture, un modèle « toutes options », lui a coûté un bon paquet de dollars.
Deux jours plus tard, elle ramène sa limousine chez le concessionnaire, se plaignant que la radio ne fonctionne pas.
« Madame », lui dit le vendeur, « le système audio de cette voiture est complètement automatique. Tout que vous devez faire est d’exprimer à haute et intelligible voix quels sont vos goûts musicaux. »

La dame regarde le vendeur, stupéfaite et incrédule. Elle s’adresse à la radio et énonce distinctement « Elvis Presley »

La radio se met alors automatiquement en marche et commence à diffuser « Jailhouse rock ».

Sans attendre la fin du morceau, elle prononce « Ludwig von Beethoven, la 5ème symphonie » et aussitôt les premières mesures du chef-d’ouvre retentissent ! Conquise par ce miracle de la technologie, la dame remonte en voiture et rentre chez elle. En sortant de la ville, elle doit s’arrêter à un croisement.

Soudain, alors qu’elle redémarre car son feu vient de passer au vert, elle est obligée de piler net en plein carrefour pour éviter un gars qui vient visiblement de griller le feu.

Sur le coup de la colère, elle hurle « ESPÈCE DE %!#%! »

Et, aussitôt à la radio on entend:

« Mesdames et messieurs, vous allez à présent entendre une allocution du Président des États-Unis d’Amérique, George W Bush. »

Papy et mamie

La scène se passe dans la maison de retraite les cheveux blancs .

Fernand, 91 ans, voit avec bonheur arriver une nouvelle, Félicité, jeunette de 85 ans .
Rapidement, comme deux aimants, leur attirance mutuelle les fait s’asseoir côte à côte au réfectoire, devant la TV, pendant les jeux, et Fernand tient Félicité par les épaules pendant les farandoles.
Arrive ce qui devait arriver : les deux amoureux, un beau soir, partagent le même lit, chambre 320.. Je vous laisse imaginer cette première nuit d’amour .

Le lendemain matin, Fernand, au réveil :
– Félicité, ma chère, je vous dois des excuses, Si j’avais su que vous étiez toujours vierge, j’y serais allé plus doucement ..
– Mais non, mon bon Fernand, c’est moi qui vous présente mes excuses : Si j’avais su que vous bandiez encore, j’aurais retiré mes collants …