Auto-cocufié.

Aujourd’hui, nuit très arrosée dans un loft avec beaucoup de monde.

Ma femme, bourrée, me choppe dans les toilettes et nous faisons sauvagement l’amour.

Plus tard dans la soirée, elle me voit de loin et vient me sauter dans les bras.

« Oh, mon chéri, tu es enfin arrivé ! »

Auto-cocufié.

Bar à Bruxelles

Un américain, un anglais et un belge boivent des bières dans un bar parisien.

L’anglais dit que, certes, l’endroit est plaisant mais que, à Londres, si l’on va boire chez Andrew’s, on paie la première bière, on paie la seconde, mais Andrew paie la troisième.

L’américain dit que oui, c’est pas mal, mais à New York, chez Tom, on paie sa bière, Tom paie la seconde. On paie la troisième, et Tom paie la quatrième.

Le belge avoue que ce n’est pas mal, mais il connait un coin encore plus chouette à Bruxelles. Chez Maesmaker, on te paie ta première bière, et une seconde, et une troisième. Quand tu as bu la troisième, tu peux même en avoir une quatrième, et après tu montes à l’étage et tu baises.

Les deux autres sont très impressionnés, et lui demandent:
– Non ? c’est vrai ? et ça t’es arrivé, à toi ?
– A moi non, mais à ma soeur, oui.

Chez Jef Vanderbrul

C’est un Anglais qui dit :
« C’est bien fun ici, mais à Londres,j’en connais un bien mieux qui s’appelle Chez Andrews. Là, tu achètes ta première bière, tu achètes ta deuxième bière, et Andrews lui-même te paye la troisième ! »

Mais l’Américain dit :
« J’veux pas vous embêter, mais j’en connais un encore mieux ! Y’a un bar à New York qui s’appelle Chez John. Tu achètes ta première bière et John te paye la deuxième. Tu achètes ta troisième bière et John te paye la quatrième ! »

Alors le Belge dit :
« Vous pensez que c’est un endroit tripant ? Ecoutez bien ça. Chez nous, il y a un bar qui s’appelle Chez Jef Vanderbrul. Vous ne me croirez pas, mais, Chez Vanderbul, tu te fais payer ta première bière, tu te fais payer ta deuxième bière, tu te fais payer ta troisième bière, tu te fais payer ta quatrième bière, et là , tu peux aller dans une chambre au deuxième étage… et tu baises ! »

« Incroyable ! disent les deux autres. Est-ce que ça t’es réellement arrive à toi ? »

« Non, répond le Belge, mais c’est arrivé à ma soeur. »

Equipe de baby foot

Une association de nains a monte un club de football, et chaque dimanche ses équipes jouent l’une contre l’autre. Après le match, tous vont dans un café ou on leur réserve la salle du premier pour boire un vin chaud. Un dimanche, un client bourre accoude au comptoir voit descendre dans l’escalier un, deux, puis trois, cinq, dix puis onze nains en maillot bleu qui traversent la salle, passent devant lui, et sortent dans la rue.

Il se frotte les yeux et recommande un whisky. A peine l’a-t-il bu qu’il voit un, deux, cinq, dix puis onze nains en maillot rouge descendre a leur tour l’escalier, passer devant lui, et sortir dans la rue.

Il appelle le propriétaire du bistrot et lui dit a l’oreille
– Patron, je voudrais pas t’inquiéter, mais j’te signale que ton baby-foot se barre!

Boire ou conduire…

On est dans un avion de ligne et l’hôtesse avance avec son chariot de boissons …
Elle arrive au niveau d’un Américain, et elle lui demande s’il désire boire quelque chose. L’Américain réfléchit, et commande finalement « Un whisky, car c’est la boisson typique des Etats-Unis !! »

Elle continue à avancer et elle finit par arriver au niveau d’un Français !! Dès lors, elle lui pose la même question qu’à l’autre passager, et le Français, après avoir un peu réfléchi lui commande: « Une bouteille de Bordeaux Rouge car c’est une boisson typique de France ». L’hôtesse s’éxécute alors …

Ayant servi le Français, elle poursuit sa petite tournée et arrive face à un Taliban… Elle lui deman,de ce qu’il veut prendre, et ce dernier lui répond simplement: « Non merci, je conduis après !! »

Remède contre les violences conjugales

Une femme entre chez son médecin, le visage tout enflé et des bleus partout. Le médecin :
Que vous est-il arrivé ?
La femme :
Docteur, chaque fois que mon mari arrive à la maison après avoir bu, il me frappe et je ne sais plus quoi faire.
Le médecin :
J’ai un bon remède pour ça. La prochaine fois que votre mari arrive totalement ivre, prenez une tisane à la camomille et gargarisez vous. Gargarisez vous le plus longtemps possible et surtout …n’arrêtez pas !

Deux semaines plus tard elle retourne chez le médecin.
Elle a l’air très calme et parfaitement heureuse. La femme :
Docteur, c’est brillant comme idée !. Dès que mon mari arrive éméché, je me précipite sur ma tisane et je me gargarise comme vous me l’avez indiqué. Du coup, plus de violences….
Le médecin :
Ben vous voyez !! …Quand on ferme sa gueule, ça peut aider !….

Une petite pipe

Un p’tit vieux, entre dans un bar, à Québec. Il grimpe sur un tabourets et commande une Blanche de Chambly.
Le gars sort sa blague et une toute petite pipe. Tellement petite, qu’il a de la difficulté à la bourrer avec ses gros doigts.

Le barman, intrigué, lui demande…
-Peut-être que ce n’est pas mes oignons, mais je trouve que votre pipe est bien petite. Pourquoi utilisez-vous une si petite pipe?
– Fils, c’est sentimental. Tout ça. Tiens je vais t’expliquer.
Pendant la Deuxième guerre mondiale, j’étais marin dans la Marine canadienne. J’avais 19 ans quand notre navire, en 1943, a été coulé par un sous-marin allemand, au large de Terre-Neuve. Je fus le seul survivant et c’est une sirène qui m’a sauvé la vie. Elle m’a conduit sur une île déserte des Bahamas….
– Ah oui…
– Oui p’tit, sers moi une autre Blanche si tu veux savoir la suite.
– Bien. Voilà monsieur le marin.
– Ce n’est pas tout, cette sirène, dont je n’ai jamais su le nom, m’a même promis, tant elle m’aimait, de réaliser trois veux.
– Alors?
– Alors je lui ai demandé de terminer la guerre sur cette île, loin de la mort. Je lui ai demandé de n’avoir aucun souci financier jusqu’à la fin de mes jours et je lui ai demandé de faire l’amour.
« Alors là, je ne peux pas, dit-elle. Je t’accorde les deux
premiers souhaits, mais, pour le dernier, ce n’est pas possible
puisque le bas de mon corps est celui d’un poisson.
Je lui ai répondu: « une petite pipe alors? ».

Une arthrite un peu bizarre

Un gars qui empeste l’alcool s’affale sur le siège d’un wagon de métro. A côté de lui, un curé. La tenue du gars qui a bu laisse à désirer : sa cravate est maculée de tâches, son visage et son col de chemise portent des empreintes de rouge à lèvres, et il y a même une bouteille de whisky qui dépasse de la poche de sa veste.

Le gars, qui n’est pas complètement bourré (mais pas loin de l’être), prend son journal et se met à lire. Après une minute, il se tourne vers son voisin de fauteuil, le curé, et lui demande :
– Dites mon Père, de quoi que c’est que ça vient l’arthrite ?
Le curé répond :
– Mon fils, je dirai que l’arthrite est due à une vie complètement dissolue, comme par exemple, sortir avec des filles de mauvaise vie, boire trop d’alcool, manquer de respect envers son prochain !

Le gars répond :
– Bordel de Dieu !!!. Ben ça alors, c’est incroyable !!!…
… Et il se replonge dans son journal.

Un peu plus tard, le curé reprend la parole et lui dit d’un ton plus aimable :
– Je suis désolé. Je ne voulais pas avoir des paroles si rudes envers vous. Depuis quand souffrez-vous d’arthrite ?
Et le gars lui répond :
– Ce n’est pas moi, mon Père. C’est le Pape, c’est ce qu’ils disent dans le journal.

Le perroquet et l’hotesse de l’air

Un perroquet voyage tout seul dans un avion. Tout à coup, il apostrophe l’hôtesse qui n’est plus très jeune:
– Hé! la vielle peau… apporte-moi un scotch et vite!

L’hôtesse tire la tête, mais ne veut pas faire de scandale et lui sert le scotch.

Un quart d’heure plus tard, le perroquet remet ca :
– Hé vieille connasse, apporte-moi un scotch et plus vite que ca!

L’hôtesse tire la tête, mais ne veut pas faire de scandale et lui sert encore le scotch.

Derrière le perroquet il y a un passager qui a déjà pas mal bu et qui se dit:
– Putain ce qu’un bête perroquet sait faire…moi je sais le faire aussi. Hé vieille pouffe, apporte-moi un gin-tonic et pronto!

Cette fois-ci l’hôtesse en a marre… va trouver le commandant qui décide de jeter le perroquet et le passager par la porte, en plein océan.

On ouvre la porte et au moment ou on va les pousser dans le vide, le perroquet regarde l’homme et lui dit:
– Je trouve que tu as une bien grande gueule, pour quelqu’un qui ne sait pas voler…