Ah, mon fils…

Quatre vieilles dames prennent le café et discutent des positions respectives de leurs fils :

– « Moi, le mien », dit la première, « il est curé. En s’adressant à lui, tout le monde dit : Oh mon père… »
– « Ah, » surenchérit la seconde, « c’est pas mal… Le mien est Évêque. En s’adressant à lui, tout le monde dit : Ah, votre Grâce… »
– « Allons allons, » pointe la troisième, « je crois que je vous surclasse… Le mien est Cardinal… En s’adressant à lui, tout le monde dit : Euh, votre Éminence… »

Leurs yeux se tournent vers la quatrième qui sirote son café en silence. Presque de concert, elles s’enquièrent.
– « Et vous, ma chère, comment s’adresse-t-on à votre fils ? »
– « Oh, le mien ? C’est bien simple, il est strip-teaser dans une boîte d’homos. Un mètre quatre-vingt dix, baraqué, et un sexe comme un tuyau de poêle. C’est bien simple, quand il baisse son slip, tout le monde dit : Oh, mon Dieu ! « 

La fin du monde

Deux gars sont en train de discuter et l’un d’entre eux dit :
– Si la fin du monde arrivait dans 15 minutes qu’est-ce que tu ferais ?
– Moi ? Je baiserai tout ce qui bouge ! Et toi ?
– Moi, je ne bougerai pas…

Profession si honteuse?

Un nouveau professeur fait son entrée dans la classe et demande tour à tour à ses élèves le métier de leur père.
Le premier : Je m’appelle Jérôme et mon père est plombier.
Le second : Je m’appelle Nicolas et mon père est électricien.
Le troisième : Je m’appelle Fabrice et mon père est gogo-dancer dans une discothèque homo.
Le professeur, gêné, juge alors bon de changer de sujet.

Plus tard, à la fin du cours, il fait sortir tous les élèves et sauf Fabrice qu’il prend à part.
– Dis-moi, mon petit, ça ne te pose pas de problèmes le métier que fait ton père ?
– Si justement ! J’ai tellement honte de ce qu’il fait que je n’ai pas osé avouer son vrai métier.
Le professeur reste interloqué.
– Mais que fait réellement ton père ?
– Bah… il est joueur de foot dans l’équipe de France…

Histoire de fils

Trois quinquagénaires attendent un quatrième pour faire un golf. Alors que ce dernier est en train de régler les parcours, ils discutent de leurs enfants respectifs.
– Le premier dit : « Mon fils a si bien réussi dans l’automobile, qu’il a offert une Ferrari jaune à un très bon ami. »
– Le second dit : « Le mien a tellement réussi dans l’immobilier, qu’il a offert une maison avec piscine a un très bon copain. »
– Le dernier dit : « Le mien a si bien réussi dans la gestion financière, qu’il a offert un portefeuille complet a un de ses meilleurs amis. »
– Sur ce, le quatrième arrive, et on lui demande ce que fait son fils.
« Oh ! Moi le mien, il est homosexuel, répond-t-il. Il travaille dans un bar gay comme gogo-dancer. »
Silence gêné des trois autres…
Lorsque ce dernier rajoute : « Mais il ne doit pas être trop mauvais au lit, car dernièrement il a reçu une Ferrari jaune, une maison avec piscine et un portefeuille de valeurs boursières… »

Maison de retraite

C’est l’histoire d’un vieil homme qui, parce que son fils ne peut pas s’en occuper en permanence, est obligé d’aller en maison de retraite.
– Ne me laisse pas ici à mourir à petit feu! dit le vieil homme à son fils.
-Papa, on en a parlé et reparlé: Il faut que tu ailles dans cette maison. Je te rendrais visite deux fois par semaine, et tu pourras toujours prendre le téléphone pour m’appeler.
Puis le fils s’en va et laisse son père dans sa chambre. Évidemment, dès le premier soir, le papa appelle son fils au téléphone:
– Tu dois venir me chercher. C’est terrible; je n’ai pas vu une seule infirmière, la bouffe est horrible, et je me sens tellement seul!
– Écoute papa, ça fait juste deux heures que je t’ai laissé là-bas! Comment peux-tu te faire une idée sur un endroit en si peu de temps? Reste encore quelque jours, et vraiment, si ça ne va pas, on trouvera une autre solution.
Alors le vieil homme raccroche, et finalement parvient à trouver le sommeil. Le lendemain matin, une infirmière vient le réveiller, le met dans son bain et lui fait sa toilette. A la grande surprise du vieil homme, ces attouchements de l’infirmière lui procurent une érection. Mieux encore, l’infirmière voyant l’effet qu’elle produit sur le vieil homme l’encourage en lui faisant une fellation! Dès que l’infirmière est partie, le vieil homme décroche son téléphone pour dire à son fils:
– Fils, cet maison est formidable! On mange bien, je me suis fait des amis, et je ne pouvais pas tomber dans un meilleur endroit!
– Ah, ce sont des bonnes nouvelles papa, j’espérais que tu trouverais cet endroit agréable.
Plus tard dans l’après-midi, le vieil homme est dans la pièce où tout le monde regarde la télé, lorsqu’il trébuche, tombe et perd connaissance. À ce moment, un autre résident surgit, baisse le pantalon du vieil homme et le sodomise en vitesse. Lorsque notre vieil homme reprend ses esprits, il remonte son pantalon, rentre dans sa chambre et téléphone tout de suite à son fils:
– Fils, viens me chercher, je t’en supplie! Viens tout de suite!
– Mais papa, il y a seulement quelques heures tu me disais le plus grand bien de cette maison, et maintenant, il faudrait que je vienne te chercher tout de suite?!?
– Fils, tu ne comprends pas: J’ai une érection, peut-être une fois par an, mais je tombe par terre au moins deux ou trois fois par jour!

Sacré poète breton

Un beau jeune-homme arrive dans une ferme de Corrèze et demande l’hospitalité.
Le fermier lui demande ce qu’il fait dans la vie et le beau gosse répond:
– Je suis poète, poète breton de Plouaret, un troubadour en quelque sorte.

Le fermier accepte de l’héberger dans la grange et dit à sa fille:
– Oh! Y a un type bizarre dans la grange. Y dit qu’il est poète!
 »- Je vais voir ça, dit la fille.

Elle entre à petits pas dans la grange:
– Alors comme ça, vous êtes poète?
– Eh oui , je fais des vers,je joue avec les mots , je compose des rimes, … Tu vas voir : Quel est ton nom?
– Moi c’est Gervaise.
– Et ben Gervaise, vient ici que je te baise.
Il la prend, la couche sur le foin et lui fait son affaire.

Peu après, la fille ravie revient voir ses parents:
– Il est super ce gars! Y fait des poèmes!
La mère se décide à aller voir: »
– Alors comme ça, vous faites de la poésie?
– Oui, oui ! Je suis un ménestrel moderne, un troubadour….je sais rimer. Quel est ton nom ?
– Moi c’est Annick…
– Eh bien Annick, viens par-là que je te nique!
Il se rue sur elle et lui fait son affaire dans le foin.

La mère toute émoustillée retourne à la ferme:
– Y m’a fait un grand poème, Boudiou que c’était beau !
Le père dit alors:
– Vin diou, y faut que j’aille voir ça moi aussi !!!!
La mère et la fille lui barrent la route en criant:
– Non Hercule, n’y va pas!!!!

Perdu en montagne

Un journaliste se rend en Ouzbékistan pour y faire quelques reportages pour son journal. Dans un village reculé, il rencontre un vieillard et lui demande :
– Vous pouvez me raconter le souvenir le plus mémorable de votre vie ?

Le vieil homme sourit et commence son histoire :
– C’est un jour, il y a très longtemps, ma chèvre s’était égarée dans la montagne. Comme c’est la tradition, tous les hommes du village s’étaient réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la chèvre.
Il poursuit :
– Quand on l’a finalement retrouvée au petit matin, on a encore bu de la vodka et, comme c’est la tradition, tous les hommes du village se sont tapés la chèvre un par un. Qu’est ce qu’on a pu rigoler !

Le journaliste se dit que cette histoire est difficilement publiable et demande au vieil homme de lui en conter une autre, peut-être un peu moins grossière.
Le vieil homme sourit et dit :
– Un jour, la femme de mon voisin s’est perdue dans la montagne. Comme c’est la tradition, tous les hommes du village se sont réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la femme en question. Comme c’est la tradition, quand on l’a finalement retrouvée, tous les hommes du village se sont tapés la femme du voisin. On s’est bien amusé !

Le journaliste n’est pas encore convaincu et interroge le vieil homme :
– Vous n’auriez pas une histoire plus triste ?
Le vieil homme prend un air sombre et commence :
– Un jour, je me suis perdu dans la montagne…

Première pipe

Un jeune homme rentre dans un bistrot :
– un double whisky… non deux

Le barman sert et regarde notre jeune ami boire cul-sec ses 2 whiskies et lui demande :
– excusez-moi mais vous fêtez quelque chose ?
– oui, ma première pipe
– Ha c’est magnifique ça, ça compte dans la vie d’un homme! Je vous sert quelque chose d’autre ?
– Non c’est gentil, maintenant le goût est passé.